Bien Débuter en BDSM
Débuter en BDSM simplement
Pour bien débuter en BDSM, il faut évidement des accessoires usuels qui permettent de mener à bien sa séance de Domination et de soumission. Préparer une soirée à connotation SM nécessite d'avoir un minimum de matériel adéquat. Bien souvent, les débutants ne sachant s’ils continueront ou non dans cette voie ont tendance à utiliser des articles de la vie courante comme ceinture, cuillère de bois ou lacet qui se révèlent souvent dangereux et peuvent laisser des séquelles irréversibles.
Le sexshop est le meilleur atout pour découvrir cet univers plein de diversité qu’est le BDSM. Les articles proposés dans cet espace spécialisé sont testés, contrôlés et garantis par des normes les autorisant à être usités dans un contexte sexuel. Une corde de suspension mal adaptée peut se révéler tres dangereuse, de même que tous articles réservés aux jeux de docteur dans le médical BDSM. Afin de préserver santé et sécurité chez vous comme chez votre partenaire de jeux, faites confiance aux professionnels pour vous guider afin de prendre le maximum de plaisir possible sans déboires. De très nombreux accessoires SM sont à votre portée, apprenez à les connaître et à les utiliser avec le blog ilxelle afin de bien débuter en BDSM
Conditionner son partenaire pour bien débuter en BDSM
Les accessoires intimes de conditionnement du dominé sont utilisés pour lui rappeler son rôle, son grade, mais aussi son appartenance à son Maître ou Domina.
Le collier BDSM en fait partie et se trouve même en pôle position. C’est le premier à être acheté par le Dominant. Esprit de symbolique tout d’abord, suivi ensuite de la mise a l’épreuve lorsque celui-ci le ferme sur le cou de la soumise qui prend à ce moment conscience qu’elle entre sous son joug en lui donnant l’autorisation de veiller sur son éducation et sur son destin. En cuir, simili, dentelle ou tissu, cet article BDSM a toujours la même signification auprès des prétendants à la séance. Il appartient au Maître de choisir celui qui est à sa convenance pour sa chienne. Il est porté lors des séances et même parfois en extérieur, rappelant au soumis appartenance et obéissance. Ce symbole fort est un incontournable des jeux extrêmes.
La laisse est l’accessoire qui relie la soumise à la main directrice du Maître. Souvent, pour une question de pur esthétique, celle-ci est assorti au collier. Pour débuter en BDSM, elle permet de faire évoluer la soumise à quatre pattes pour lui infliger une contrainte moral en la mettant au niveau de l’animal. Le but est de déshumaniser son esprit afin de façonner son éducation comme un jeune chiot. Avec cet article BDSM, le Maître dirige, possède et maîtrise son jouet.
Débuter en BDSM en limitant les sens
La privation des sens est une pratique plus que répandue en BDSM et elle demande pour se faire différentes choses qu’il est possible d’acquérir sur votre sexshop en ligne français. Le masque permet de couper tout champ de vision pour priver le dominé de la vue. Il permet d’en ouvrir d’autre et le soumis tendra l’oreille ou humera l’atmosphère pour essayer de comprendre ce qu’il se passe dans son entourage. La cagoule ou loup pour visage permet aussi de lâcher prise et de dissimuler la honte ou l'identité laissant un plus grand champ d’action à la séance BDSM.
Le bandeau est préféré par certain pour l’apprentissage de la soumise. Moins lourd de sens que le masque, il n’en est pas moins efficace. Il prive aussi de l’usage de la vue en permettant de se concentrer sur l’instant présent. Lors de séance sadomasochiste, il offre la possibilité à la soumise de rester seule en phase avec elle-même pour apprécier la douleur que lui inflige son Dominant. Il peut être utilisé pour cacher tout le visage et conserver l’anonymat des partenaires face aux regards d’autres Maîtres ou spectateurs. Le visage ainsi dissimulé, elle pourra éventuellement et sur ordre s’exprimer plus facilement. Le bandeau participe aussi grandement à l’excitation en restant sur le qui vive de savoir ce qui va arriver.
Les cagoules, bien qu’utilisées dans la relation BDSM, sont néanmoins plus souvent utilisées dans le monde SM. Peu importe la matière, qu’elle soit en cuir ou en tissu, elle a pour but d’obstruer la vue, mais aussi et souvent la bouche. Cette couverture intégrale pour le visage est un formidable outil de déshumanisation mettant le soumis dans un état second. Si le choix se porte sur une cagoule laissant la bouche libre, la soumise se transformera en bouche qui sera utilisée suivant les envies du Dominateur. Ces situations humiliantes font partie des pratiques BDSM permises dans la check list imposant à son porteur d’entrer dans des retranchements profonds et vaincre la honte. En se rabaissant, la soumise devient psychologiquement plus forte et assouvit encore plus le pouvoir du Dom qui l’en remerciera.
Débuter en BDSM avec les bâillons
Bien que plusieurs sorte de bâillons existent, les deux les plus utilisés sont le bâillon boule et le Ring. Bien que l’utilisation soit opposée, le but premier est le même, à savoir l’humiliation. Quel baillon choisir ?
Le bâillon boule ou Ball gag est utile pour mettre le soumis au silence, limiter la forme audible de ses cris. Il sert aussi à le faire baver pour accéder à une bouche bien humide. Lors d’une punition ou une correction à la badine, les cris étouffés par le Ball gag restent pratiquement inaudibles. Dans une séance d’humiliation et de rabaissement, il a pour rôle de faire baver fortement la soumise pour la contempler. Toutes les tailles de boules existent. Choisir celle qui est le mieux adaptée à la bouche de la soumise. Trop gros, il est douloureux et difficile à porter et ne fait pas baver comme il est souhaité. Trop petit, il est tout bonnement inefficace. Néanmoins, une boule de taille conséquente dissimule tous les cris. Un débutant choisira un modèle de petite taille, idéal pour saliver. Pour limiter les cris, le choix d’un modèle plus imposant est un passage obligé, qui a quand même aussi l’inconvénient de limiter la respiration buccale. A prendre en compte dans la préparation de la séance.
Le Ring ou bâillon O ring a la faculté d’obliger la soumise à conserver la bouche ouverte, tel un ecarteur de bouche, mais laissant plus de liberté de mouvement. Humiliant, il interdit l’usage de la parole et permet au Maître et à ses invités de se satisfaire à loisir de cette bouche ouverte. L’anneau est en général assez large pour permettre à un pénis s’y loger ou tout autre chose que le Dominant voudra insérer dans la dite bouche. Un accessoire BDSM souvent utile pour le dépassement de soi, à essayer sans modération.
Le bondage expliqué pour débuter en BDSM
Amateurs de jeux de contraintes, il vous faudra choisir, pour ligoter ou attacher votre partenaire, entre menottes, cordes ou bandeaux de bondage. Les menottes sont beaucoup utilisées dans les jeux BDSM, mais également depuis quelques années dans les couples vanille pour donner du punch à leur sexualité. Elles sont recommandées pour contraindre la soumise en lui limitant l’usage de ses mains et de ses pieds. Elles permettent aussi de choisir diverses positions à infliger à la soumise. Symbole de l’emprisonnement, elles rappellent aussi la puissance des forces de l’ordre et la soumission qu’il s’en dégage. Pour les couples en manque de sensations épicées, les lourdes menottes de métal des adeptes BDSM sont remplacées par des modèles recouvertes de plumes donnant un coté moins abrupte à la relation. Plus agréables que les modèles en fer, les menottes en cuir sont parfaitement adaptées à un port aux poignets et aux chevilles. Pratiques, elles sont simples d’emploi. Elles peuvent être reliées entres elles ou à des chaînes en leurs additionnant des mousquetons. Pour relier menottes de poignets et cellesde chevilles, notre boutique BDSM commercialise aussi des croix très utiles et pratiques.
Pour ligoter, il existe aussi, bien entendu les cordes de bondage, cellophane (saran wap) et bandeaux. Idéales pour la pratique du bondage. Quelle corde de Bondage choisir ? Les cordes existent dans différentes matières et longueurs. Faites de nylon, coton ou chanvre pour les puristes, les cordes de bondage restent un accessoire SM pour initiés et à utiliser avec la plus grande attention. Il existe aussi des bandeaux et du tape de bondage, plus accessible pour les débutants. Le shibari est quant à lui plutôt réservé aux personnes déjà initiées. Notre billet techniques de bondage expliquées va ravir les novices.
Débuter en BDSM avec les pinces
Pincer fait partie intégrante des jeux extrêmes. Quelles soient à seins ou à sexe, les pinces SM ont pour but de sensibiliser les tétons, les testicules et les lèvres intimes et obligent la personne soumise à dominer sa douleur en y ressentant du plaisir. Cette sensibilisation des parties intimes sert aussi à développer le coté masochiste qui sommeille chez le soumis. Les pinces à seins sont diffusées sous diverses formes et modèles. Simple pince ou munie d’un dispositif réglant l’ouverture, tout est une question de mordant.
Les parties entrant en contact avec les tétons, lèvres ou testicules sont souvent gainés de latex. Le novice choisira les modèles réglables en vérifiant toujours l’intensité du mordant avant l’utilisation. Rien de tel qu’un accessoire mal utilisé pour gâcher une séance et discréditer le futur Maître. Les pinces offrent un large éventail de possibilité de soumission. Il est souvent possible de rajouter des anneaux sur lesquels viendront prendre place des poids complémentaires afin de travailler la difficulté et la résistance de la soumise.
Electrostimulation et compatibilité avec des débuts en BDSM
La pratique de l’electrosexe prend une place de plus en plus importante dans la relation BDSM. Ces box électriques permettent d’électriser les zones érogènes ou toutes autres parties du corps. L’électro stimulation, connue depuis des décennies dans les jeux sadomasochistes, offre par l’intermédiaire de sextoys electrosexe et de pads, le plaisir de l’électricité par des décharges plus ou moins intenses dans les jeux sexuels.
Bien loin de l’electrostimulation musculaire des sportifs dont la longueur d’émission du courant serait dangereuse avec un usage intime, la centrale d’electrostimulation offre la possibilité, au moyen d’électrodes, d’exciter la soumise mais aussi de la punir d’une faute suivant l’intensité électrique retenue. Un mélange savant d’excitation et de douleur qui est confié à l’initiative du Maître. L’intensité est différente pour débuter en electrosexe, ou pour en faire un usage régulier. L’electrosexe est aussi disponible sous la forme de Néon Wand ou Violet Wand qui est une baguette diffusant de l’électricité pour infliger des décharges électriques au soumis.
L’électro stimulation sexuelle est unique et induit des sensations uniques que rien ne peut remplacer.
Débuter en BDSM, c’est aussi battre et punir
Éducation anglaise, corrections et punitions sont les Maîtres mots d’une relation SM. Dans la relation BDSM, ces mots durs servent plutôt lorsque la soumise est prise en faute. Il n’y a pas de coups gratuits, mais juste un échange de force pour remettre le dominé dans le droit chemin. Pour se faire, divers accessoires existent, le plus souvent en cuir solide et durable.
Le martinet est un outil de correction privilégié qui devient souvent l’accessoire fétiche des soumises. Certaines sont même prêtes à se comporter incorrectement pour pouvoir en goûter. Il est intéressant de choisir, non pas un, mais plusieurs martinets. En effet, chacun est différent et procure au receveur un plaisir suivant lequel est utilisé. Les grands martinets ont une intensité de frappe nettement inférieure à celle de leurs homologues courts. Les plus longs sont aussi mieux tolérés par les soumises. Les modèles courts à lanières sont plus cuisants. Ils sont à déconseiller aux novices.
Choisi en cuir ou en nubuck, le martinet a l’avantage de ne par marquer les chairs. Il rosit, mais les rougeurs s’estompent au bout de quelques heures. Il est aussi tres peu fréquent de blesser ou d’ouvrir la peau avec ce genre d’accessoire, si ce n’est de taper comme un tortionnaire ce qui n’est pas le but recherché en BDSM. Le martinet est un article qui est à la portée de tous, même débutant. Il est facile de varier l’intensité des coups et ceux-ci, suivant le désir du Maître, peuvent être doux ou cuisant. Il est tout à fait adapter pour remettre une soumise dans les rangs et qu’elle s’en souvienne, avec néanmoins un sentiment de plaisir.
Bien différente du martinet, la cravache avec une claquette est nettement plus mordante. Elles se doivent d’être réservées à un public initié. Quelle que soit la cravache, une mauvaise utilisation peut rapidement devenir désagréable, voire dangereux. Les coups doivent être précis. Une cravache est très dure et juste la claquette doit entrer en contact avec la peau. De plus, il ne faut corriger que sur les endroits charnus, à savoir hanches, fesses et cuisses uniquement.
Le novice qui administre un coup avec la partie dure peu provoquer des lésions irréversibles. Son usage demande beaucoup de praticité, de dextérité et d’attention. Lors du dressage d’une jeune soumise, la cravache amène de l’intensité dans la relation D/s et apaise la résistance de l’apprentie.
Les tapettes ou paddle sont des accessoires BDSM parfaitement adaptés aux débutants. Proposant une large surface de frappe, il ne marque pas, ne mord pas et diffuse la sensation de douleur sur une plus grande étendue tout en offrant une intensité plus facile à gérer.
Les cannes et badines sont des articles sado masochistes qui ne sont en aucun cas destinés aux novices. Véritable instrument de torture, elles se réservent à des soumises aguerries ayant des tendances maso et qui veulent intensément progresser dans un processus d’acceptation de la douleur. Facile à identifier, elle siffle lors de l’utilisation et la retombée sur le corps est extrêmement mordante et douloureux. Peu d’utilisateurs les supportent. Elle est utilisée par le Maître qui veut infliger une punition sévère. Elle marque la peau, peut déchirer les chairs et laisse souvent derrière elles des traces bleues similaires à des hématomes. Les douleurs ressenties sont violentes et les douleurs profondes. Pour public averti seulement.
Le fouet est connu dans la sphère BDSM pour sa violente morsure. Fruit d’un très long entraînement, n’est pas meneur de fouet qui veut ! Un long travail de la part de la Domina est nécessaire pour l’utiliser sans blesser, car seule la mèche doit entrer en contact avec la peau. Il offre après un correct maniement des sensations très intenses et mordantes qui ne conviendraient en rien à une soumise en apprentissage. Le claquement est typique et fait sursauter. Si vous ne l’entendez pas, c’est qu’il va se poser sur vous !
Débuter en BDSM avec les bougies
Brûler est aussi une variante des jeux BDSM. Les bougies sont des éléments indispensables pour aiguiser le masochisme de la soumise. Bien souvent, les bougies dont fait usage le Maître dans une séance BDSM sont spécialement étudiées pour un usage sexuel et leurs compositions exemptes de paraffine brûlent moins que des bougies classiques. La brûlure que procure une telle bougie permet un ressenti intense mais de courte durée grâce à cette composition spécifique. Elle s’utilise sur toutes les parties du corps et même sur le sexe. Il faut toutefois comprendre que plus la peau est fine, plus grande sera la sensation de brûlure. Facilement exploitable par les novices sur les parties charnues de la morphologie, il faudra juste lui laisser le temps de reprendre ses esprits entre chaque versement de cire. Une expérience inoubliable offrant de la nouveauté à chaque séance.
Bien débuter en BDSM avec les jeux de docteur
Très à la mode et donnant du piment à la séance, il est souvent de coutume dans une soirée BDSM de se heurter à un jeu médical SM. La aussi, toute une panoplie d’accessoires vaginaux, anaux et bien d’autres sont disponibles pour que ces amusements extrêmes soient possibles. Ausculter les parties intimes de la soumise est aussi une forme d’humiliation, surtout s’il en résulte de laisser ses orifices ouverts à la vue de tous, lors de réunions par exemple. Le spéculum est l’outil médical numéro 1 de ce type de divertissement. Pour que le spéculum soit de qualité, il faut y mettre le prix afin de posséder un ustensile comprenant un mécanisme de serrage résistant. Celui-ci est indispensable pour conserver le spéculum ouvert et résister à la pression du vagin. Facile d’emploi, il se réserve à tous, débutants ou aguerris.
Le spéculum anal est différent du vaginal par sa forme de grand ciseaux. Comme pour son homologue, la qualité acquise définira la qualité de l’écartement de l’anus. Il permet d’humilier la soumise au plus profond d’elle, aussi bien physiquement que psychologiquement. Sur le principe, le dilatateur d’anus peut être utilisé par tous, mais psychologiquement, une jeune soumise pourrait ne pas être préparée à laisser son orifice ouvert et scruté de l’intérieur.
Pour la dilatation, le plug anal reste un incontournable. Il sert à dilater, mais aussi à préparer l’anus pour la sodomie. Tout dépend du diamètre utilisé. Disponible dans différentes tailles, il est aussi proposé en différentes matières comme la silicone, le métal, le verre, l’ABS et le PVC. L’usage d’un lubrifiant est à conseiller pour éviter les déchirures.
Autre type de plug anal, le Rosebud. Considéré comme un bijou intime, il n’en est pas moins un redoutable dilatateur d’anus. La fabrication est faite d’acier ou d’aluminium et reçoivent pour masquer l’orifice anal un cristal luxueux. Ils existent en tailles S, M, L, XL et même XXL. Les maxi rendent parfois le port en extérieur difficile pour l’apprenti.
Pour vivre un BDSM enrichissant, débuter en BDSM correctement
Associés à l’imagination débordante des Maîtres et à leur créativité, faites vous plaisir de la découverte de ce nouveau monde qui s’offre à vous en utilisant des accessoires SM de choix et en respectant les consignes de sécurité qui vous ouvriront toutes les portes possibles de vos fantasmes. Donnez-vous les moyens de vivre vos envies avec ilxelle qui vous accompagne dans votre quête de découverte afin de bien débuter en BDSM. Celui-ci étant inépuisable, une longue vie de sensations et de ressentis vous attend dans ce cheminement personnel extrême qui, mené de main de Maître, vous apportera toutes satisfactions.
C’est pour cela qu’il est indispensable de bien débuter en BDSM avec un contrat BDSM, une check list et des outils afin de pouvoir exploiter son potentiel de Dominateur ou de soumis dans le respect des règles édictées par chacun des protagonistes. Bonne découverte dans votre BDSM !
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